Je t’aime gros comme…ouf… Je ne t’aimerai jamais assez !

Ici on s’aime de différentes façon, ça dépend de l’inspiration parfois c’est

• gros comme le monde
• gros comme l’univers
• gros comme toutes les patates pillées du monde entier
• gros comme toute la ville de cowboys
• gros comme tous les bas perdus de notre maison
• gros comme la galaxie, l’univers, un homme des neiges et une grosse baleine

Bon, d’accord, le dernier est un peu étrange mais c’est

TEeellEEEEMmmEEENT CUTTTTEEEEEUHHHHH !

En vérité, il n’y a pas de fin à l’amour que nous avons pour nos enfants et je pense qu’à l’inverse, du moins jusqu’à l’adolescence, il n’y a pas non plus de fin à l’amour que nos enfants ressentent pour nous. Parfois la créativité est à son comble parce qu’il ne faudrait pas que ce soit redondant l’amour dans une maison, il faut varier les mots. Ici je dois dire «Je t’aime» des dizaines de fois par jour, de toutes les manières, de toutes les façons  et jamais je n’ai l’impression de le dire trop souvent parce que je sais combien ça fait plaisir de l’entendre !
Je ne sais pas pourquoi mais je me dis qu’en le répétant sans arrêt, je sème des petites douceurs dans la tête de mes enfants. Je sais que ce n’est pas ça qui va changer le cours des choses, qui fera que mes enfants seront plus sages et garderont le droit chemin mais on dirait que je le fais pour moi aussi. C’est un peu ma façon de me dire que s’ils manquent un jour de quoi que ce soit, jamais ils n’auront manqué d’amour sous mon toit.

Je suis heureuse de faire partie de cette génération où les petits mots doux peuvent être dits autant par la maman que par le papa, je suis certaine que ça fait du bien à tout le monde, que la vie va mieux depuis et que ça universalise petit à petit l’amour. De toute façon, avouons-le, on ne s’aimera jamais assez gros ou assez bien ou assez fort dans une époque comme la nôtre et peut-être qu’à force de dire des «Je t’aime gros comme le monde» dans nos maisons nous allons multiplier les douceurs parce que je suis convaincue que ce n’est pas à coups de X-Box, de cours de soccer et de cartes Pokémon qu’ils grandissent et s’élèvent vers le haut, c’est avec des petites tapes dans le dos et des mots qui viennent du coeur…

Si vous aimez ceci, vous allez ADORER:

Entre le terrible 2 et le fucking 4 : Le fighting 3 Plaidoyer contre les Fuc!*&#ng présentoirs de bonbons du magasin La fois où j’avais oublié la fée des dents !!! Redonnons le contrôle de la rue aux enfants