Pour d’autres petits mots suivez-moi ici : www.facebook.com/tatoueemaman
Pour une vie de famille colorée
 Quand il était petit, mon fils était un enfant assumé. Quand un petit garçon riait de lui parce qu’il aimait jouer aux poupées ou qu’il aimait se déguiser, il répondait toujours : «Un jouet, c’est un jouet.» ou «Ben moi j’aime ça !». Il était beau à voir, il aimait ce qu’il voulait, il savait que tout ce qui existe est pour tout le monde, que tu sois un gars ou une fille, que ce soit Spiderman, un astronaute, une fée, une princesse aux cheveux longs, un train, une Barbie, il aimait tout, tout le temps. Les gens aimaient sa façon d’être, de s’exprimer et d’être bien dans sa peau. Je dois dire que comme maman, c’était un cadeau d’avoir un enfant aussi fier de sa personne, j’aimais le voir aller à la garderie avec les autres amis, il était doux, je trouvais que son papa et moi lui avions donné de belle valeurs (sans tout prendre le crédit bien sûr), notre fils était un enfant très ouvert d’esprit.
Quand il était petit, mon fils était un enfant assumé. Quand un petit garçon riait de lui parce qu’il aimait jouer aux poupées ou qu’il aimait se déguiser, il répondait toujours : «Un jouet, c’est un jouet.» ou «Ben moi j’aime ça !». Il était beau à voir, il aimait ce qu’il voulait, il savait que tout ce qui existe est pour tout le monde, que tu sois un gars ou une fille, que ce soit Spiderman, un astronaute, une fée, une princesse aux cheveux longs, un train, une Barbie, il aimait tout, tout le temps. Les gens aimaient sa façon d’être, de s’exprimer et d’être bien dans sa peau. Je dois dire que comme maman, c’était un cadeau d’avoir un enfant aussi fier de sa personne, j’aimais le voir aller à la garderie avec les autres amis, il était doux, je trouvais que son papa et moi lui avions donné de belle valeurs (sans tout prendre le crédit bien sûr), notre fils était un enfant très ouvert d’esprit.
 L’école a commencé il y a deux ans et cette année, la phrase qui me sille les oreilles est arrivée : «Maman, est-ce que mes amis vont rire de moi ? ». Je voyais déjà depuis la première année des changements de cap dans ses goûts, ses choix d’activités, ses choix d’amis et souvent je me demandais si ses envies venaient de lui ou s’il voulait juste suivre la parade et choisir comme les autres. Il semblait se sentir obligé d’aimer certaines choses, certains jouets alors que je savais très bien que ça ne l’intéressait pas une seconde… Son nouvel objectif était clairement d’être dans le moule, de ne pas dépasser, de ne jamais faire rire de lui… Être « low profile » quoi ! Mais est-ce que c’est vraiment une vie ça de faire comme les autres ?
L’école a commencé il y a deux ans et cette année, la phrase qui me sille les oreilles est arrivée : «Maman, est-ce que mes amis vont rire de moi ? ». Je voyais déjà depuis la première année des changements de cap dans ses goûts, ses choix d’activités, ses choix d’amis et souvent je me demandais si ses envies venaient de lui ou s’il voulait juste suivre la parade et choisir comme les autres. Il semblait se sentir obligé d’aimer certaines choses, certains jouets alors que je savais très bien que ça ne l’intéressait pas une seconde… Son nouvel objectif était clairement d’être dans le moule, de ne pas dépasser, de ne jamais faire rire de lui… Être « low profile » quoi ! Mais est-ce que c’est vraiment une vie ça de faire comme les autres ?
Je le comprends, j’ai déjà voulu faire comme les autres juste pour me fondre dans la masse, être comme quelqu’un d’autre ou comme un groupe pour faire partie de la gang, pour être HOT !… Mais j’avais oublié que ça commençait à l’école primaire, que ça commençait si jeune. Pour moi qui se fiche maintenant de tellement de choses que les gens pensent, je sais que parfois on vit quand même des insécurités dans notre vie de grands.
Ce matin, pour mon fils c’était la grande question autour de sa nouvelle tuque qui est un peu différente mais oh combien pratique (je t’en reparlerai), il m’a demandé : «Est-ce que mes amis vont rire de moi ?». Je lui ai posé des questions du genre : «Toi pourquoi tu l’aimes ta nouvelle tuque ?», «Qu’est-ce qui fait que tu as envie de la mettre ici mais pas à l’école ?», «Si quelqu’un riait de ton ami, tu lui dirais quoi pour le défendre ?»… Il est parti plus confiant, prêt à répondre à toutes les interrogations de ses amis. Ce soir il est revenu en me disant : «Tu avais raison, quand Chose (on ne mettra pas de nom) m’a demandé pourquoi ma tuque était pas comme la sienne, je lui ai tout dit ce que tu m’avais dit ce matin et il a rien dit et moi j’étais content parce qu’elle est belle et que je l’aime !». Pour moi c’était une petite réussite qu’il ait pu faire un pied de nez lui-même à une crainte qui trottait dans sa tête d’enfant. Je sais que demain, il partira sans se poser de questions, la tête haute et d’un pas décidé…
Comme parents, nous avons tenté par tous les moyens de le laisser être lui-même en tout temps, de l’aider à choisir ce qu’il aime dans la vie pour s’accomplir mais c’est un  fait, l’étape de l’école primaire est difficile pour les enfants. Elle est juste avant celle de l’école secondaire où on se définit plus comme être humain, où on affiche dans notre style notre personnalité à travers nos passe-temps, la musique qu’on écoute, les genre d’amis qu’on fréquente, notre look et même le design de notre agenda. Malheureusement, je le sais, peu importe les décisions que l’on prend dans la vie, il y a toujours quelqu’un pour rire de nous, pour nous juger, nous critiquer… Parfois c’est de la jalousie mal placée, parfois c’est de l’ego et parfois, c’est juste de l’incompréhension. Comme ma thérapeute me dirait quand je lui parle d’une personne qui m’a fait de la peine ou qui a été méchante : « Il faut être vraiment triste ou malheureux pour juger et dire du mal de quelqu’un d’autre», la pire chose est de la laisser t’éteindre parce que c’est souvent ce que les gens négatifs essaient de faire : éteindre les autres… J’ai toujours tout fait pour que mon fils ne se moque pas des autres, je pense que c’est l’une de mes plus grandes peurs mais en vieilissant, j’ai aussi de la peine pour celui qui se moque, c’est triste au fond… C’est triste à mort !
fait, l’étape de l’école primaire est difficile pour les enfants. Elle est juste avant celle de l’école secondaire où on se définit plus comme être humain, où on affiche dans notre style notre personnalité à travers nos passe-temps, la musique qu’on écoute, les genre d’amis qu’on fréquente, notre look et même le design de notre agenda. Malheureusement, je le sais, peu importe les décisions que l’on prend dans la vie, il y a toujours quelqu’un pour rire de nous, pour nous juger, nous critiquer… Parfois c’est de la jalousie mal placée, parfois c’est de l’ego et parfois, c’est juste de l’incompréhension. Comme ma thérapeute me dirait quand je lui parle d’une personne qui m’a fait de la peine ou qui a été méchante : « Il faut être vraiment triste ou malheureux pour juger et dire du mal de quelqu’un d’autre», la pire chose est de la laisser t’éteindre parce que c’est souvent ce que les gens négatifs essaient de faire : éteindre les autres… J’ai toujours tout fait pour que mon fils ne se moque pas des autres, je pense que c’est l’une de mes plus grandes peurs mais en vieilissant, j’ai aussi de la peine pour celui qui se moque, c’est triste au fond… C’est triste à mort !
Mon fils, sois fier de toi, tu es parfait, tu me fais rire à tous les jours mais jamais je n’ai envie de rire de toi, j’ai plutôt envie d’applaudir celui que tu deviens… Aime ce que tu aimes, soit ce que tu es, croque dans tes passions, fonce dans la vie et si les autres rient de toi, je vais leur pèter la… euh non, je vais t’encourager toujours à rester vrai parce que c’est comme ça que nous t’aimons gros comme toutes les patates pillées du monde entier !!!
Souvent, les histoires de Noël se ressemblent toutes un peu. C’est normal, la légende est si grande ! Mais cette semaine, mon coeur de mère a littéralement fondu devant «Quand le Père-Noël était petit» de Linda Bailey et Geneviève Godbout, une autre merveille des éditions Scholastic.
 est si grande ! Mais cette semaine, mon coeur de mère a littéralement fondu devant «Quand le Père-Noël était petit» de Linda Bailey et Geneviève Godbout, une autre merveille des éditions Scholastic.
Comme le titre le révèle, l’histoire débute lorsque le petit Noël était dans son berceau.
Au fil des pages, on découvre à quel point ses goûts se sont raffinés rapidement pour sa passion. Son amour pour le rouge, les cheminées et le froid du frigo quand il fait trop chaud l’été. Le plaisir qu’il avait à remballer les cadeaux qu’il recevait pour le redonner dès sa tendre enfance, tout était destiné pour qu’il devienne notre Père-Noël !
 J’aime les illustrations au look vintage qui viennent appuyer l’image dans notre tête de l’époque où le Père-No est arrivé dans nos maisons et qui me rappellent les livres et les casse-tête que ma grand-maman avait gardés dans ses boites quand j’étais petite. Ce n’est pas le style de la page couverture mais bien le titre qui m’a accroché, j’avais envie d’en savoir plus ! Dès que l’on ouvre les pages, on sent tout l’amour de l’auteure et de l’illustratrice.
J’aime les illustrations au look vintage qui viennent appuyer l’image dans notre tête de l’époque où le Père-No est arrivé dans nos maisons et qui me rappellent les livres et les casse-tête que ma grand-maman avait gardés dans ses boites quand j’étais petite. Ce n’est pas le style de la page couverture mais bien le titre qui m’a accroché, j’avais envie d’en savoir plus ! Dès que l’on ouvre les pages, on sent tout l’amour de l’auteure et de l’illustratrice.
Ce livre m’a réchauffé le coeur et a attendri celui de mes enfants, je suis tellement  heureuse de l’avoir découvert.  Je sais que ce livre nous suivra sur plusieurs années et qu’il deviendra un classique de notre bibliothèque du temps des fêtes.
heureuse de l’avoir découvert.  Je sais que ce livre nous suivra sur plusieurs années et qu’il deviendra un classique de notre bibliothèque du temps des fêtes.
Il s’agit d’une nouveauté et je crois qu’actuellement vous pourrez le trouver dans la plupart des librairies du Québec…
Clouée au lit depuis le 4 novembre… Un genre de bactérie de on-sait-pas-trop-quoi  mais qui ne veut pas aller jouer ailleurs. Je suis habituée de tenir le fort, de jouer à docteur maman avec les enfants, de me lever la nuit dès que mon radar de mère embarque, de partir à tâtons dans la chambre pour administrer un médicament la nuit, à chronométrer le temps entre deux probiotiques le jour, ça fait partie de ma job de maman-pieuvre comme le dirait si bien mon amie Julie Philippon.
 mais qui ne veut pas aller jouer ailleurs. Je suis habituée de tenir le fort, de jouer à docteur maman avec les enfants, de me lever la nuit dès que mon radar de mère embarque, de partir à tâtons dans la chambre pour administrer un médicament la nuit, à chronométrer le temps entre deux probiotiques le jour, ça fait partie de ma job de maman-pieuvre comme le dirait si bien mon amie Julie Philippon.
Maintenant, c’est mon tour, trois semaines à ne pas pouvoir me lever pour faire les déjeuners, à demander de l’aide à gauche et à droite, à devoir déléguer tout à mon entourage, on me traite comme une princesse et pourtant, moi le seul sentiment que j’ai est de me sentir cheap gros comme le monde.
Bien sur, je vois le sourire dans le visage de ceux qui m’aident. Louka se sentait tellement grand le matin de faire les toasts pour lui et pour son petit frère, il avait l’impression de faire une grande différence pour moi et il avait bien raison, juste me lever c’était le Kilimanjaro. Dans mon coeur je me disais :« Voyons, t’es même pas capable de te lever pour les nourrir», se baigner dans le feeling cheap comme dans une piscine de honte… Mais juste d’ouvrir le frigo et le coeur me levait, une conséquence de la bactérie qui a attaqué mon intestin et mon ventre était trop pesant pour se tenir debout. Je me trouvais pathétique !
Mais pourquoi est-ce qu’on est fait comme ça, pourquoi est-ce qu’on ne peut pas se  faire aider sans avoir un sentiment de culpabilité, pourquoi est-ce que je ne pourrais pas juste accepter que c’est comme ça et être fière de d’avoir une famille aussi débrouillarde ? Parce que la maman, c’est l’héroïne de toute la coordination, quand elle y parvient, elle ressent ce oumf du devoir accompli, parce qu’une maman arrive à tout, tout le temps. Parce qu’on nous véhicule des images comme dans l’annonce de Nyquill (/&*/?* »?/?(/61) qui dit qu’une maman, ça ne prend jamais congé, même lorsqu’elle est malade, depuis deux semaines JE L’HAÏS CETTE ANNONCE-LÀ ! Je devrais opter pour «Si le chapeau te fait mets-le», mais je trouve que le message de ce que cette publicité nous envoie c’est qu’une mère, ça s’arrange et ça ne demande pas d’aide…
faire aider sans avoir un sentiment de culpabilité, pourquoi est-ce que je ne pourrais pas juste accepter que c’est comme ça et être fière de d’avoir une famille aussi débrouillarde ? Parce que la maman, c’est l’héroïne de toute la coordination, quand elle y parvient, elle ressent ce oumf du devoir accompli, parce qu’une maman arrive à tout, tout le temps. Parce qu’on nous véhicule des images comme dans l’annonce de Nyquill (/&*/?* »?/?(/61) qui dit qu’une maman, ça ne prend jamais congé, même lorsqu’elle est malade, depuis deux semaines JE L’HAÏS CETTE ANNONCE-LÀ ! Je devrais opter pour «Si le chapeau te fait mets-le», mais je trouve que le message de ce que cette publicité nous envoie c’est qu’une mère, ça s’arrange et ça ne demande pas d’aide…
Être malade, ce n’est pas prendre congé, prendre un day off c’est pour aller magasiner,  pour aller se faire faire une pédicure, être malade c’est être à terre, accepter de l’aide et surtout lâcher prise sur ce qui ne sera pas fait à notre façon. Je veux quand même me faire un câlin de fierté, je suis fière d’avoir appris à faire confiance à mon entourage, d’avoir laissé la place pendant toutes ces années à ceux qui voulaient entrer dans nos vies et qui voulaient être des personnes significatives pour mes enfants. Cette semaine je l’ai réalisé comme jamais quand j’étais clouée dans mon lit à l’hôpital… J’étais fière de voir mon homme aller avec ses garçons, de lui avoir laissé la place qui lui revenait dans notre vie de famille même si je savais que peut-être tout ne serait pas à mon goût, je le trouvais beau, accroché au bout de mon soluté, un peu gommée des injections…
pour aller se faire faire une pédicure, être malade c’est être à terre, accepter de l’aide et surtout lâcher prise sur ce qui ne sera pas fait à notre façon. Je veux quand même me faire un câlin de fierté, je suis fière d’avoir appris à faire confiance à mon entourage, d’avoir laissé la place pendant toutes ces années à ceux qui voulaient entrer dans nos vies et qui voulaient être des personnes significatives pour mes enfants. Cette semaine je l’ai réalisé comme jamais quand j’étais clouée dans mon lit à l’hôpital… J’étais fière de voir mon homme aller avec ses garçons, de lui avoir laissé la place qui lui revenait dans notre vie de famille même si je savais que peut-être tout ne serait pas à mon goût, je le trouvais beau, accroché au bout de mon soluté, un peu gommée des injections…
Mes enfants s’ennuyaient de moi, ils ne pouvaient pas venir me voir à l’hôpital
, j’étais en isolation toute seule avec le moins de visite possible et de toute façon je n’avais pas le goût de voir personne. Ils m’ont accueillie à la maison avec un beau bouquet de fleurs qu’ils avaient choisis eux-mêmes, ils étaient avec leur mamie qui a tout fait pour que leur semaine soit belle et qu’ils n’aient pas de séquelle de mon départ en ambulance. Ils font confiance aux membres de la famille qui ne veulent que du bien pour eux, ils savent qu’ils disent la vérité et ils ont cette façon charmante et bien à eux d’expliquer les choses, de rendre les moments le plus magique possible même quand c’est dur, même quand rien ne va comme je le voudrais…
Une maman quand elle tombe malade ce n’est pas pour prendre congé, c’est un passage obligé, elle continue à réfléchir, à structurer, à s’assurer que personne ne  manque de rien, une maman, quand elle est malade elle ne doit pas se culpabiliser, elle doit simplement prendre du temps pour revenir sur ses pattes pour profiter de tout l’amour qui l’entoure parce qu’une mère ça se nourri de l’amour de ceux qu’elle aime…
manque de rien, une maman, quand elle est malade elle ne doit pas se culpabiliser, elle doit simplement prendre du temps pour revenir sur ses pattes pour profiter de tout l’amour qui l’entoure parce qu’une mère ça se nourri de l’amour de ceux qu’elle aime…
P.S Un gros merci à notre famille pour votre aide, à L’Amoureux et à mes enfants d’avoir cette capacité à faire face aux événements avec le sourire et une joie de vivre comme j’en ai rarement vu dans ma vie…xxx
Dimanche dernier, en faisant le sapin, ça me chicotait. Il manquait quelque chose dans le sapin de Noël pour le personnaliser… J’avais le goût de quelque chose avec de la peinture noire pour dessiner avec les enfants mais je n’avais plus de peinture et je voulais que ce soit terminé avant la fin de la journée… Too bad que je me suis dit, on va aller chercher un peu plus de lumières au magasin et je vais regarder si je trouve quelque chose de sympa pour agrémenter l’arbre…
Bien vous ne me croirez pas, en arrivant chez Michael’s dans les sections de Noël, j’ai trouvé des boules déjà peintes avec de la peinture à tableau noir ! Fak j’ai sauté sur place en tapant des mains en faisant des HIHIHIHI (l’Amoureux trouvait ça chic) !!! Il y avait des rondes et des plus minces… Comme je voulais que les enfants dessinent dessus, j’ai opté pour la forme aplatie pour que ce soit plus facile à manipuler… J’ai aussi pris les crayons blancs qui servent pour le tableau pour écrire plutôt que les craies parce que ça salit moins le dessin quand la petite main se promène sur la boule…
 trouvé des boules déjà peintes avec de la peinture à tableau noir ! Fak j’ai sauté sur place en tapant des mains en faisant des HIHIHIHI (l’Amoureux trouvait ça chic) !!! Il y avait des rondes et des plus minces… Comme je voulais que les enfants dessinent dessus, j’ai opté pour la forme aplatie pour que ce soit plus facile à manipuler… J’ai aussi pris les crayons blancs qui servent pour le tableau pour écrire plutôt que les craies parce que ça salit moins le dessin quand la petite main se promène sur la boule…
Nous nous sommes installés dans le salon en écoutant de la musique de Noël et les enfants ont dessiné les boules… Rémi a fait : «Le Snoopy, pas le chien là maman, le snoopy le z’humain là avec un peu de cheveux…» Louka lui a dessiné notre lutin, le Père-Noël…. J’aime quand les activités sont affichées, les enfants sont toujours heureux de participer ! Ça donne une touche tellement cute dans le sapin mais en même temps tellement sobre… J’ai aussi pensé que ça fait des mausus de beaux cadeaux pour la famille à peu de frais ! Tu peux écrire derrière l’âge et ce que l’enfant a dessiné si, comme le Snoopy-z’humain, ça ressemble pas beaucoup à un Snoopy-z’humain…

Vous avez des vieilles boules à la maison que vous voulez restaurer ? Vous pouvez les tremper dans du Chalk Paint pour le même effet, c’est juste un peu plus long mais de toute façon, peu importe le chemin que vous prendrez pour y arriver, je suis certaine que vos ornements seront magnifiques, Parce qu’ici nous sommes très fiers de veiller devant notre beau sapin depuis dimanche !
P.S Je suis incapable de vous trouver le lien pour acheter en ligne sur le site de Michael’s mais j’ai trouvé un lien vers un article sur le site pour que vous puissiez voir et les trouver en magasins. : http://canada.michaels.com/on/demandware.store/Sites-MichaelsCanada-Site/fr_CA/Product-Show?pid=C_74991