Genevieve

Mes 3 enfants dorment dans la même chambre pis toute va bien !

29 janvier 2018 by Genevieve 10 Comments

Quand j’ai annoncé l’arrivée de notre troisième enfant, une question trônait : »Mais vous allez le mettre où ??? ». Nous avions deux garçons qui dormaient dans la même chambre depuis toujours et qui, malgré des petites disputes ici et là, adoraient être ensemble… Nous avons donc décidé de poser la question aux deux intéressés. Où voulez-vous qu’on place Léon dans la maison lorsqu’il va arriver ? La réponse a été unanime : »Ben, avec nous, c’est sur ! » Ça été simple comme ça… Exactement la même réponse que nous avions eu quand bébé 2 a été annoncé, il y a 7 ans.

Nos enfants aiment être ensemble, pour eux c’est un sentiment de sécurité, ils aiment sentir la présence de l’autre. Bien entendu, ça n’a pas toujours été si simple parce que oui, entre enfants d’une même famille il faut parfois gérer des conflits, mais justement, j’adore le fait qu’ils doivent le régler en terrain commun ! Attention, ce billet n’a pas été écrit pour convaincre personne ou pour dire que nous avons la science infuse sur la disposition des lits de nos enfants ou pour dire que cette façon de faire est la meilleure, mais plutôt pour dire que nos enfants ne font pas pitié d’être dans la même pièce. C’est étrange cette façon de voir les choses, peut-être pas pour vous, mais plusieurs personnes pensent qu’il faut absolument avoir tout individuellement pour être heureux. Ce n’est pas notre cas…

On nous ‘’reproche’’ souvent l’harmonie entre nos enfants, oui, vous avez bien lu, les gens nous reproche le lien qui les unis en nous disant qu’on est juste chanceux que nos gars s’entendent bien, mais on nous reproche aussi d’avoir décidé de créer un endroit où ils se sentent bien de partager le même espace au quotidien…

Nous avons une petite maison dans laquelle nous nous sentons bien, nous misons sur une grande chambre pour les trois et des petits espaces tranquilles dans les aires communes. Les enfants ont appris avec le temps l’importance de la bulle de l’autre, chose qui n’est pas facile de nos jours… On n’a pas toujours besoin de se parler ou de jouer ensemble, on est capable d’être dans la même pièce pendant qu’un fait un casse-tête, l’autre écoute de la musique, pendant que je cuisine et que papa travaille sur un projet et c’est ce que nous avons voulu inculquer aux enfants lorsqu’ils sont dans leur chambre : le respect de l’espace physique et mental de l’autre.

Ma grand-maman me racontait qu’elle avait 13 frères et soeurs et qu’ils avaient une chambre de filles et une de garçons. Mes arrières grands-parents eux dormaient au rez-de-chaussée pour chauffer le poêle la nuit… Ma mamie a près de 75 ans et habitait à la campagne, Dans les années 40, c’était une question de chauffage, et de grandeur de maison, il fallait chauffer des petits espaces pour que toute la famille se tienne au chaud… La vie a changé bien sur, mais quand je vois à quel point elle et ses frères et soeurs s’entraident et s’aiment, je trouve que c’est un bel exemple à suivre…

Oui j’ai eu un peu de pain sur la planche pour certaines consignes dès le départ quand bébé est arrivé genre : essayez de ne pas faire de bruit le jour pour ne pas le réveiller… Ne pas crier dans la chambre. Allez dans les aires communes pendant les siestes… Mais après quelques jours ils ont compris l’importance de créer un climat de tranquillité avec bébé. Au premier, c’était les réveils la nuit qui m’inquiétaient. Au début, bébé réveillait un peu son grand frère, mais après quelques jours l’adaptation était faite et même de longs pleurs de coliques ne le réveillaient plus. On a appris tous les 4 à cohabiter avec notre nouvel amour et lui apprend à tous les jours à vivre avec nous selon les étapes dans lesquelles ils se retrouvent…

C’est une façon différente de faire, mais je pense que c’est un choix de famille très personnel, ce n’est pas juste une question d’espace, j’aurais pu sacrifier le salon du sous-sol ou mon espace atelier-bureau, mais en écrivant ce texte, j’ai demandé à Rémi : »Rémi, pourquoi donc est-ce que tu ne voudrais pas des chambres séparées avec tes frères ? et il m’a simplement répondu : »Parce que je les aime… » Puis, je lui ai demandé » Est-ce qu’il y a d’autres raisons ? » et il m’a dit : »Je viens de te le dire, je les aime et c’est tout maman… ». Voilà, c’était clair et le sujet était clos…

Je vous assure, mes enfants ne font pas pitié parce qu’ils dorment dans la même chambre, au contraire, mes enfants sont tellement riches de s’avoir et tellement heureux lorsqu’ils se regardent !

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Une fête à l’allure d’un camp de vacances !

25 janvier 2018 by Genevieve 10 Comments

La fête de 6 ans de Louka a été pour moi je pense la plus belle fête que j’ai organisée de ma vie ! C’était important pour moi parce que 6 ans c’est comme le transfert de la petite enfance à la vie de grand. Louka avait le droit d’inviter 4 petits amis pour un souper-dodo-déjeuner (avec lui et son frère ça faisait toujours ben 6 enfants).

L’Amoureux a travaillé fort avec moi pour transformer la maison en allure de camp de vacances. Nous avons tout préparé la veille parce que j’étais un peu dernière minute alors nous avons fait tout un sprint ! L’important dans cette fête, c’était l’atmosphère. J’aurais aimé faire la fête à l’extérieur mais j’ai accouché le 21 septembre et c’est un peu frisquet pour le popotin.

Voici donc mes trucs pour faire une fête à l’allure d’un camping éclectique !

1-Fabriquer un feu !

C’est le temps avec les liquidations d’Halloween d’acheter des cordons lumineux aux couleurs du feu. Pour faire les bûches, comme je ne trouvais pas de cartons bruns, j’ai utilisé du liège et un Sharpie pour faire les noeuds du bois. Vous aurez besoin d’un carton jaune et orangé pour les flammes. J’adore l’effet de la lumière orangée sur le carton. Lorsque la lumière était tamisée, elle éclairement doucement les »flammes » et une fois la nuit tombée, c’était comme veiller autour de la braise ! Effet parfait !

2-Fabriquer des tentes

Pour cette fête, je ne pouvais pas plus impliquer L’Amoureux. J’avais besoin de tentes à tout prix ! Il m’a gossé à l’aide de vieux morceaux de bois recyclés de son inventaire deux triangles vissés et reliés par une baguette, simple et efficace. Pour faire la toile, je n’avais pas envie de dépenser un prix de fou pour du tissus alors j’ai trouvé chez Dollo un rouleau de nappe blanche en simili-plastique. Notre gabarit pour la grosseur ? Le format du sac de couchage d’un enfant de 6 ans. Notre maison est petite mais nous avons caché les divans dans notre chambre… C’est un peu le bonheur avec une fête juste d’amis, les enfants mangent sur le plancher et sont trop heureux ! Si vous aviez vu la face des enfants quand ils entraient dans la maison, c’était frissonnant !

3-Un ciné-parc dans le salon !

Une fois le souper et les jeux terminés, c’était le moment du film. Pydges, pop corn, et lait qui allume dans le noir. Hop ! Tout le monde dans sa tente ! Pendant que le film roule, ça donne le temps aux parents de décompresser et de ramasser la cuisine. J’ai trouvé chez Dollo des petits pailles qui allument dans le noir, il s’agit d’un petit »light stick » intégré/coincé dans la paille, quand l’enfant aspire le lait, la couleur monte et redescend lorsque l’enfant termine sa gorgée. Un deux dollars bien investi qui empêche les amis de demander du jus avant le dodo.
4-Dormir sous la belle étoile…

J’ai mis un matelas pour moi dans la cuisine (au-cas-zou) pour pouvoir intervenir si un ami se réveillait en pleurant mais ce n’est pas arrivé. Les amis se sont couchés, nous avons mis nos veilleuses Cloud B qui projettent des étoiles au plafond pour créer un ciel parfait et de la musique de la nature dans la télé (Galaxie Nature poste 929) qui faisait un effet criquet-camping à tout casser ! Avec les amis, nous avons chanté en chuchotant »Bonne fête Louka » juste après avoir fermé la lumière, c’était vraiment magique parce que nous sentions qu’ils étaient vraiment heureux d’être là avec lui…

Les enfants se sont couchés et moi, dans la cuisine sur mon matelas, j’ai braillé ma vie de joie jusqu’à minuit et demi. JE L’SAIS CHUI BÉBÉ mais j’étais fière de L’amoureux et moi mais surtout de mon beau grand garçon de 6 ans.

On ne dit pas ça »pauvre bébé »… Pas pour rien et pour tout…

19 janvier 2018 by Genevieve Leave a Comment

Ahhhh pauvre bébé… Ça, je ne suis juste plus capable de lire ça, d’entendre ça… Je déteste cette phrase-là pour mourir… Quésé ça »pauvre bébé » ? Deux mots utilisés à plein de sauces dans plein de contextes qui n’ont pas rapport et qui, sans le savoir, viennent me heurter comme ça ne se peut pas… Il n’y a rien qui me fait plus suer que lorsque que quelqu’un dit à mon bébé »pauvre bébé » alors que mon bébé n’est pas pauvre pantoute… Ça vient toujours avec un ton de pitié et une petite moue de bouche pour signifier que c’est triste, ça me frise tellement… Vous savez de quoi je parle ?

Il a la tuque sur les yeux après une heure d’auto dans laquelle il est endormi, non ce n’est pas un pauvre bébé… Il a juste la tuque dans les yeux calvaire… Il se réveille en pleurant parce qu’il a faim et papa le réconforte pendant que je m’installe, non ce n’est pas un pauvre bébé… Il pleure parce que je paye mon épicerie et que je me dépêche pour partir aller le nourrir un peu plus loin ? Ce n’est pas un pauvre bébé… Il pleure pendant un changement de couche, c’est normal, il est justement changé de couche et ça ne fait pas son affaire…Non, ce n’est pas un pauvre bébé, no worry il va bien ! Pauvre bébé quand bébé s’est endormi dans le porte-bébé et qu’il a la joue toute effouarée tellement il est bien sur sa maman C’EST NON, cet enfant-là est bien ! Oh et pas pauvre bébé pendant qu’il pleure pendant l’installation du porte-bébé parce qu’il combat son sommeil ou que je l’installe dans son banc d’auto ultra-hot parce que ça ne lui tente pas, c’est juste normal…

Bébé recrache le brocoli-poulet dans un souper de famille ? Pas pauvre bébé, sa maman s’est fait suer à faire de la purée de poulet à marde qui sent le yâbe dans la cuisine pour donner les nutriments à son enfant, ce n’est pas le temps de faire passer bébé pour un martyr de la guerre de Troie, après quelques fois, il va aimer plus la texture, il découvre, il apprend, garde ça dans ta tête… Lâche pas un pauvre bébé please, garde ça dans ta tête… Bébé fait de la fièvre, ok c’est bon tu peux le dire en mettant une main dans le dodo de la maman et en lui demandant si elle va bien parce qu’elle a autant mal que son coco qui souffre et il manque probablement plusieurs heures de sommeil à son compteur… Mais tsé comme ma mère dirait : Tout est dans le ton, vous savez probablement de quel ton je parle en écrivant ce billet.

En fait pas »pauvre bébé », à moins que ce soit vraiment un »pauvre bébé »…

Un pauvre bébé c’est un bébé qui est maltraité, qui manque d’amour, qui est laissé à lui-même tout le temps, qui est abandonné et pas juste quand je suis en train de servir le souper de ses grands frères qui doivent aussi manger… Un pauvre bébé ne pleure pas parce que sa maman le »maltraite » en lui changeant sa couche. Un pauvre bébé trempe dans son urine pendant deux jours parce que sa maman ne s’en est pas occupé parce qu’elle se pique dans un garde-robe au sous-sol… Ça, c’est un pauvre bébé… Un vrai pauvre bébé.

Pauvre bébé, c’est deux mots qui peuvent faire de la peine à une maman qui manque de sommeil, à une maman qui a donné de l’amour toute la nuit, qui donne toute tout le temps sans compter… Quand vous lancez ces deux mots mis ensemble, vous lui laissez croire qu’elle n’est pas adéquate et que son bébé manque de quelque chose et ça, sachez que ça peut blesser… Il y a des jours où on n’entend rien parce que tout va bien, où c’est facile de faire la part des choses, mais il y a des journées plus difficiles où ce n’est vraiment pas un bon match de mots. Ce n’est juste pas les bons mots en fait, c’est juste hors contexte…

Il y a des choses qui font un choc entre les générations… Par exemple, la housse hivernale de mon bébé ultra-perfomante où il est plus au chaud que moi, mais qu’il y a toujours une madame pour me dire que »mon pauvre bébé » doit avoir frette pas de manteau… Je suis une mère intelligente et renseignée, promis que mon bébé va bien… Alors qu’on va se le dire, je capote juste à l’idée de penser que ces mêmes femmes sortaient de l’hôpital avec bébé sur les genoux sur le banc avant de la voiture sans siège d’auto… C’est ben correct, les temps changent, mais please, ne vient pas me dire que mon bébé est un pauvre bébé dans sa chancelière pis son banc de bébé à l’épreuve des balles qui coûte à peu près le prix de ton char en 1980… Je respecte ton époque, respecte la mienne et sa belle évolution… Je pète pas une coche, je relativise.

En deux jours, j’ai entendu deux pauvres bébés qui n’étaient pas adressés à moi dans une rencontre, j’ai répondu : On ne dit pas ça »pauvre bébé » et étrangement ça m’a soulagé… Je suis entourée de mères exceptionnelles qui font leur possible et qui ne méritent pas qu’on caractérise leur poupon de pauvre alors qu’ils sont si riches d’avoir les meilleures mamans les plus dévouées que je connaisse et qui donnent sans compter… Le poids des mots peut être lourd, parfois plus pesant que d’autres, mais il faudrait savoir bien les utiliser correctement dans la parentalité parce que tout le monde fait son possible…

Remplace ça par »tu es bonne, lâche pas… », par »bébé d’amour, c’est normal d’être fâché, c’est plate embarquer dans son banc d’auto », par »Ta maman change ta couche pour que tu sois bien… ». Rends tes mots utiles, rends tes mots efficaces, demande si tu peux donner un coup de main si la maman a les bras plein de sacs d’épicerie avec ses trois enfants dans un parking au lieu de lâcher un »pauvre bébé ». Laisse ton jugement dans ta penderie le matin pis sors ta compassion, ça va rendre le monde meilleur, ça va rendre le monde plus doux….

Mon bébé au chaud dehors, sans son habit de neige… #CONCOURS

22 décembre 2017 by Genevieve 6 Comments

L’hiver et moi, nous apprenons à cohabiter depuis 31 ans. Je ne suis pas une fan de froid et de neige, mais j’apprends à vivre avec. Ma réalité l’hiver a bien changé depuis mon premier. Il y a 9 ans, les housses étaient très peu disponibles… Puis, à ma deuxième grossesse, j’avais un format igloo qui se positionnait uniquement sur mon banc d’auto. C’était déjà plus simple, mais je devais quand même avoir un habit de neige pour aller me promener avec lui dehors. Je suis un peu tard pour mon billet de cette année parce que je voulais vraiment tester à fond le bijou dont je vais vous parler aujourd’hui qui est selon moi un ultra-top-bijou ! L’enveloppe hivernale B-212 de 7 am.

Je l’ai découverte dans une vidéo de Gisèle de chez Charlotte et Charlie alors qu’elle faisait un live pour nous le faire découvrir
sur Facebook. Je l’avais déjà regardée en magasin, mais je n’étais pas encore certaine que c’est ce que je voulais. Je croyais au départ que comme mon ancien igloo, elle ne se positionnait que sur la coquille. C’est là que j’ai compris quelle était géniale puisqu’elle était évolutive et qu’elle se positionnait également sur une poussette.

J’ai donc choisi cette chancelière pour répondre à mes besoins. Gisèle m’a parlé des comparables et selon mes besoins, elle m’a vraiment conseillé celle-ci. J’ai commencé à l’utiliser à l’automne pour voir son évolution. L’automne dernier, même en poussette une journée très froide, je devais mettre un mini chapeau de rien à Léon sinon il avait trop chaud. Dans la voiture, j’enlevais même son chapeau et j’évitais de lui mettre un chandail trop chaud, c’est vous dire à quel point la housse est chaude. Les grands froids sont arrivés, j’ai mis un chandail un peu plus chaud à bébé et il était encore bien au chaud lorsque nous arrivions à la maison.

L’enveloppe couvre le fond de ma coquille ou de ma poussette ce qui garde vraiment son dos au chaud et elle est amovible rapidement si je dois la mettre dans ma poussette. Dès mon entrée au centre d’achat j’ouvre la fermeture éclair et si bébé ne dort pas, je lui retire son petit chapeau.

Mon objectif cet hiver est de rester active et de sortir le plus souvent possible à l’extérieur. C’est mon engagement que j’ai pris envers moi-même pour garder mes jambes actives et c’est ce que les spécialistes m’ont demandé de faire suite à un diagnostic d’hernie discale… C’est aussi l’engagement que j’ai pris avec ma tête pour me faire ventiler l’esprit un peu à tous les jours… Cette enveloppe est donc adaptée pour moi puisque j’utiliserai beaucoup ma poussette au courant de l’hiver que ce soit dans les rues avoisinantes ou au chalet de la famille.

SI je reste dehors plus longtemps, je lui mettrai peut-être son petit habit d’automne, mais encore là, je serais vraiment étonnée. Je traine avec moi sa tuque de portage au cas où pour qu’elle le protège plus, mais à toutes les fois où je lui ai mise, elle était vraiment de trop… Vous allez voir il y a toujours quelqu’un dans votre famille pour vous dire que votre bébé n’est pas assez habillé, vous n’aurez qu’à lui proposer de toucher bébé à sa sortie de son banc, promis, il ne vous gossera plus après !
7 am n’était pas connu beaucoup lorsque j’étais conseillère et je dois vous avouer que je n’avais pas vraiment de connaissance sur le produit. Lorsque j’ai vu le kiosque l’an dernier au ABC kids show de Végas (j’aime ça dire ça, ça fait hot dans une phrase :P), j’ai été séduite par le look de l’entreprise. J’étais au début, vraiment très début de ma grossesse, mais je trouvais que les nouveautés étaient vraiment intéressantes, il me restait juste à voir où je serais rendue à l’automne prochain avec mon petit dernier.

Comme Léon était déjà un bébé-lescent quand l’hiver est arrivé (6 mois) je devais le mettre dans une housse où il pourrait voir ses frères dans la voiture et les gens lorsque nous nous promenons, il est à son Peak de curiosité, l’igloo n’aurait pas été approprié pour lui… Vous connaissez la stimulation par les grands frères hein ? Je l’utiliserai encore l’hiver prochain pour nos promenades puisque pour le moment, j’ai retiré l’extension aux pieds mais je pourrai la rajouter soit l’hiver prochain ou s’il grandit encore plus d’ici le printemps.

Au niveau du prix, elle est un peu plus dispendieuse qu’un poncho ou que l’igloo, mais avec bébé-chât-chât, c’était la meilleure option pour nous pour mes activités hivernales et je voulais pouvoir l’utiliser un max de temps. Il faut dire qu’il y a très peu de produits efficaces qui font sur la coquille et sur la poussette facilement.

Avec les froids de la semaine dernière, je crois que j’ai pu le tester à fond avec bébé et je sais maintenant qu’elle est ultra approuvée. Le vrai frette n’était pas encore là et je tenais à l’avoir affronté avant de vous en parler, mais je dois dire que je suis enchantée par sa versatilité. Vraiment gros coup de coeur !

En collaboration avec Charlotte et Charlie :

CONCOURS : Vous aimeriez gagner une enveloppe hivernale B-212 ?

Pour participer c’est simple : Écrivez-nous sur Facebook sous la publication de ce billet pourquoi vous aimeriez gagner votre B-212 et likez la publication : www.facebook.com/larecreationfamille .

N’hésitez pas à demander à vos amis et votre famille de venir participer pour vous aussi !

Le tirage aura lieu le 26 décembre 2017 !

Bonne chance et je vous invite à découvrir la belle équipe de chez Charlotte et Charlie sur Facebook, un magnifique entreprise située à Québec mais aussi partout au Québec avec sa belle boutique en ligne : https://www.facebook.com/charlotteetcharlie/

Pour découvrir la gamme et les variation de produits hivernaux de 7 am c’est juste ici : https://www.charlotteetcharlie.ca/promenade/chancelieres-habits-de-neige-et-couvertures-dexter/

Une petite raclette pour déjeuner le matin de Noël !

19 décembre 2017 by Genevieve 1 Comment

Notre tradition du matin de Noël… j’ai déjà hâte !

C’est toujours chouette les raclettes à déjeuner, depuis que les enfants sont petits nous utilisons plus notre four pour les petits dejs que pour les soupers. Parce que c’est vraiment économique, vraiment simple et que ça me permet de faire des crêpes assise avec les enfants, à jaser plutôt que d’avoir l’air d’une machine à production sur le bord du four qui sert à remplir leur estomac de petits gourmands. Au réveil, les enfants prennent une petite collation, puis on brunch un peu plus tard. Voici mes petits trucs pour que ce soit simple, agréable, avec peu de vaisselle et que ça ne coûte pas un bras pis une jambe !

Préparez en vous levant un pichet de mélange à crêpe. Je triple la recette parce qu’une fois que les enfants ont terminé, je reste assise à la table à jaser avec chéri autour d’un café en continuant la production de crêpes pour en congeler un peu d’avance. Une fois la plaque chaude, ça va assez vite et ce n’est pas stressant. Pourquoi un pichet ? Parce que ça ne prend pas de place et que ça coule sur la plaque à la perfection !
J’utilise des fruits congelés pour ne pas gaspiller… Je les sors un peu à l’avance pour qu’ils décongèlent et si nous en manquons sur la table, il en reste au congélateur.
Un peu de chocolat fondu, un peu de sirop d’érable ou un petit mélange crème et sirop dans un chaudron pour faire un petit caramel et le tour est joué !
Nous râpons du fromage au frigo et en sortons des petites portions à la fois sur la table. Vous pouvez utiliser différentes sortes de fromages selon votre goût parce que pour vrai, toutes les sortes dans une crêpe sont bonnes !
Vous pouvez ajouter des légumes comme des asperges, des piments, des champignons mais ici avec les enfants les fruits c’est plus gagnant !
J’aime ajouter des petits croissants et les faire cuire sous la plaque avec les petits, ils peuvent surveiller la cuisson, préparer le croissant, ça les responsabilise beaucoup et c’est vraiment bon. Petit trucs : ouvrir le croissant, mettre du fromage, des framboises, du caramel avec un peu de fleur de sel, refermer, ajouter un peu de caramel et de fromage : ça goûte le ciel !!!
Comme sur le poêle, la première crêpe est toujours laite, c’est important de le spécifier !

Incluez les enfants dans la préparation des ingrédients, ne vous rushez pas dans le temps, ça n’en vaut pas la peine. Je vous suggère de ne pas partir en fou. C’est souvent ce qui nous empêche de répéter des expériences agréables, c’est quand la préparation est trop longue ou coûte trop cher. Un matin, vous pouvez suggérer un menu sucré comme à la St-Valentin et pour Pâques un menu plus salé au lieu de tout acheter pour un seul déjeuner et être trop plein pour pouvoir goûter à tout.

Pour nous, les raclettes, c’est une petite tradition festive ou non qui nous permet de nous rappeler de prendre le temps. La vérité c’est que lorsque l’on s’installe autour du four, on doit répéter beaucoup les ‘’on n’est pas pressé les enfants’’ parce que eux veulent tout, tout de suite et en immense quantité parce qu’ils veulent tout goûter. Mais après quelques minutes ils sont plus calmes et on peut jaser autour d’un bon brunch. C’est vraiment un travail d’équipe, on prépare ensemble, on mange ensemble et après quand papa et maman ont terminé de jaser, ils viennent faire la vaisselle avec nous, ils sont fiers de pouvoir nous aider et le deal c’est qu’un matin raclette ça se fait en gang, pas juste une maman toute seule qui se tape tout, toute seule !

Je vous souhaite des beaux petits matins cozy autour du poêle à raclette pour réchauffer votre hiver !

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